QUIZ : Le Miroir du mur…

Mais où se trouve donc ce petit miroir ?

Permet-il aux véhicules stationnés de sécuriser leurs manoeuvres ?

A-t-il été oublié là par une dame distraite ?

Etrange … Faisons comme lui… réfléchissons !

Solution

Ce mirroir n’est pas perdu, mais enchassé dans le mur du nouveau bâtiment accueillant la MJC Chablais.

Près d’une centaine de petits mirroirs comme celui-ci sont intégrés au bâtiment reflétant la lumière, et jouant avec le soleil.

Ce bâtiment accueille les bureaux de l’administration de l’association, dispose de nombreuses salles d’activités, et d’un Dojo pour les pratiques des arts martiaux.

La première pierre de ce nouveau bâtiment de Douvaine a été posée en Avril 2017, le budget total dépasse les 3.2 millions d’Euros, financés par les communes, le département, la région, l’UE, et la CAF. Les activités ont pu démarrer dans ces nouveaux locaux en Septembre 2018. La MJC Chablais accueille aujourd’hui plus de 1300 Membres en provenance de 12 communes du Bas-Chablais.

Plus d’information : Site Internet de la MJC

QUIZ : Le Sanglier débarque…

Mais où se trouve donc cette ébauche de sanglier pris dans la pierre ?

Nous vient-il de nos lointains ancêtres ?

Pourquoi n’est-il pas terminé ?

Etrange mystère…

Solution

Cette tête de sanglier de pierre est l’une des ébauches de sculpture que l’on trouve sur l’un des menhirs qui ont pris place sur le parking de la salle polyvalente “La Bulle”.

Ces menhirs sont arrivés en 2008, et faisaient partie du “mobilier” urbain du village gaulois qui avait été créé à l’occasion de la Fête “La Gauloise” organisée par l’association Quoi d’9 avec le soutien de la mairie de Douvaine.

La promesse de cette manifestation était de partager un grand moment de convivialité en redécouvrant la vie de nos ancêtres au sein d’un grand village reconstitué.

Lors de la première édition de cette fête, des tailleurs de pierre avaient été invités pour décorer les menhirs fraichement livrés. Malheureusement ces derniers se sont blessés lors de la première journée au village, et n’ont pas pu poursuivre et terminer leur travail.